Le projet se situe dans un contexte urbain en mutation dans la zone portuaire.
La plate-forme de transit est un outil industriel de transfert des terre polluées par bateau, incluant cellules de stockage et bureaux.
L’enjeu urbain et architectural est donc de concilier la nécessité du développement de l’activité de dépollution par voie d’eau et la qualité architecturale et urbaine pour les nouveaux bureaux.
Les immeubles tertiaires remplacent peu à peu les terrains industriels et portuaires.
L’enjeu urbain et architectural est donc de concilier la nécessité du développement de l’activité de dépollution par voie d’eau et la qualité architecturale et urbaine pour les nouveaux bureaux.
La plate-forme se situe dans le prolongement immédiat du port public de la darse de Nanterre, avec une limite ténue, de manière à constituer un arrière-plan construit face à l'eau.
Les volumes sont implantés selon une trame orthogonale qui permet de distinguer l’organisation de l’activité.
Ils se composent d’un bâtiment de bureaux et local technique et de six tunnels de stockage des terres. L’espace libre au Nord est affecté à la cour de service en lien direct avec le port public.
Le volume de bureau est traité comme un signal depuis la rue et une vigie depuis la darse, dans un vocabulaire portuaire.